Farindar
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 L'équipement de Paine [Par Paine]

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La Bibliothécaire

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MessageSujet: L'équipement de Paine [Par Paine]   L'équipement de Paine [Par Paine] Icon_minitimeVen 14 Déc - 17:27

L'équipement de Paine [Par Paine] Daguero7Arzalis et Pazalis ou l'histoire des deux daguesL'équipement de Paine [Par Paine] Daguero7



Je conterais ici l'histoire de mes dagues, trésor familial dont j'ai hérité en quittant le cocon familial. Ses dagues sont puissantes et renferment un pouvoir qui m'est inconnu encore aujourd'hui et dont jamais les ancêtres n'ont su percer le secret. Mais aujourd'hui je suis décidée à le découvrir et pour cela j'ai retracée l'histoire de ses dagues, nommée Arzalis et Pazalis. Bien voici donc l'histoire de mes dagues depuis leur création jusqu'à aujourd'hui.

C'était il y a des centaines et des centaines d'années, le premier pionnier de la famille alla s'installer dans le village où sont nés tous ses descendants dont Paine. Débrouillard et puissants il imposa vite un respect de sa personne ainsi qu'une vision bénéfique auprès des habitants ce qui lui valut d'être très vite un elfe dirigeant et fut bientôt nommé Comte du village.
Quelques années passèrent et l'elfe vivait tranquillement, construisant sa maison, dirigeant son village, fondant sa famille. Tout dans sa vie était bonheur et joie mais un jour elle fut troublée par un évènement fortuit: l'arrivée imprévu d'un groupe d'elfe chassé de leur village par des monstres impétueux et dangereusement bien organisé. Très vite, il organisa une battue avec tous les guerriers et mages disponibles et tous se dirigèrent, sous le commandement du Comte, vers le village pris pour cible abattre les créatures. En plus grand nombre et bien organisés, les elfes n'eurent aucun mal à éliminer tous les monstres sans exception. Mais très vite, une deuxième horde ne tarda pas à rejoindre les lieux et prit par surprise le groupe de namida non vigilant, une grande partie d'entre eux furent tués alors que le Comte fut pris en otage. Le reste du bataillon elfique battit en retraite derrière les remparts du village intact du Comte et se lancèrent à sa recherche tout en se demandant comment des monstres avaient réussi à s'organiser ainsi et pourquoi avait-il enlevé leur Chef plutôt que de le tuer, sachant que les monstres auxquels ils avaient affaire (qui sont aujourd'hui disparus d'après les archives du temple d'Ertuen) n'avaient pas pour habitude de prendre des prisonniers.

Plusieurs jours passèrent sans que les elfes ne retrouvèrent la trace de leur ami et pendant ces nombreux jours le prisonnier subit diverses atrocités telles qu'elles laisseraient des traces sur le corps de la victime à vie et peut-être même les descendants les auraient si la magie y était mêlée. Les elfes finirent par perdre espoir et abandonnèrent leur recherche pensant qu'il était mort et qu'il le serait avant qu'il ne l'ai retrouvé. Les jours se transformèrent en semaine et les semaines en mois et pas un seul moment de répit ne lui fut accordé. Jamais il ne réclama la pitié de ses bourreaux et jamais il ne cria sous la torture car on le torturait sans rien lui demander, simplement pour le plaisir et l'amusement du Chef des monstres qui étaient en réalité deux, un couple d'hideuse bête mais d'une intelligence redoutable comme put s'en apercevoir le Comte lors d'une discussion qu'il eut avec eux entre deux tortures.

Un jour qui devait se dérouler comme les autres depuis déjà six mois, on ne vint pas chercher le prisonnier bien qu'on lui apporta de quoi se nourrir. Surpris il ne dit rien pour ne pas tendre la perche à ses bourreaux et patienta. Mais personne ne vint et les autres jours furent pareils puis les semaines passèrent sans que rien ne se passe. Peut-être avaient-ils fini par se lasser de cet elfe qui ne demandait pas pitié et qui ne hurlait pas sous la douleur. Il put donc reprendre des forces et ses nombreuses plaies purent cicatriser. Il eut le temps de prier Sorad pour qu'il lui vienne en aide et lui offrit des offrandes malgré le peu de nourriture qu'il avait mais le dieu ne lui fit aucun signe de vie. Le Comte ne perdit pas courage, il interpréta ce refus comme une invitation a prouvé sa valeur et organisa donc son évasion.

Il ne connaissait pas la magie étant exclusivement un guerrier et ne put donc s'aider du pouvoir inné des elfes. Il fit donc appelle à sa force et une nuit il arracha une barre de fer à son lit. A l'aide d'un stratagème inconnu de mes ancêtres il réussit à limer la barre de fer et en fit une pointe. Ce travail lui prit deux mois entiers. Le fer prêt, il embrocha un garde qui venait lui rendre visite chaque jour afin de voir si le prisonnier n'était ni mort ni disparu. Le garde s'étala silencieusement sur le sol poussiéreux et l'elfe ramassa l'épée qui lui servirait d'armes dans cet étrange donjon souterrain apparemment vu qu'il n'y avait pas de fenêtre mais des puits.

Il se promenait prudemment dans les couloirs évitant les rares patrouilleurs dont l'armure cachait l'aspect que l'elfe ne voulut même pas imaginer tellement leur démarche difforme laissait imaginer les pires atrocités. Alors qu'il avançait lentement dans les couloirs poussiéreux et caverneux il arriva dans une étrange salle où deux trônes, qui ressemblaient plus à deux chaises miteuses posées sur une estrade de roche, surplombait le reste de la salle faite de banc et de table de pierre. Des fûts étaient posés au pied de chaque table et d'après l'odeur l'elfe jugea que ce devait être de la bière naine. Les uns était vide, les autres plus ou moins pleins mais de toute évidence une fête avait eu lieu la veille. Aucun monstre n'était dans la salle, pas de dormeurs ivres ou autres, la pièce était déserte ce qui arrangeait bien le fugitif qui en profita pour regardait de plus près les deux trônes mais n'y trouva rien d'autre qu'un gravure sur chaque: une corne en vrille.

Ne restant pas plus longtemps sur les lieux il prit la porte derrière les deux trônes et arriva dans une antichambre tout aussi miteuse et sale que le reste. N'y trouvant rien, il alla dans la chambre qui suivait logiquement l'antichambre et surprit deux créatures en plein sommeil. L'elfe eut laissé échapper un cri d'horreur s'il ne s'était pas souvenu juste à temps qu'il était dans un donjon où tout bruit lui aurait été fatal. Les deux créatures dormaient sur le dos à cause d'une corne vrillée qui surplombait le front de chacun. Comme il n'avait ni couverture ni vêtement, l'elfe put détaillé les deux monstres similaires sauf de par leur couleur. Tous deux étaient poilus et on voyait leur peau, malgré les poils qui devaient ce cachés ce détail, on voyait leur peau toute flageolante comme s'il n'y avait pas de matière en eux. Leur tête était étrangement formée: ils avait tout deux un long museau se terminant avec leur nez dont les narines formaient des carrés. Leurs yeux étaient de minuscules orifices et leurs oreilles étaient celles d'elfes. L'absence de bouche marqua plus particulière l'elfe car il les avait entendu parler. Il eut beau chercher mais il ne trouva aucun orifice buccal.

Les voyant profondément endormi, il tenta une chose que seul un elfe de sa famille tenterait: il prit son épée doucement, sans bruit et coupa les cornes des monstres comme vengeance des supplices qu'il avait connu. Il réussit à ne pas les réveiller par on ne sait quel miracle. Sûrement Sorad veillait sur lui à cet instant et s'en fut du donjon sans plus d'encombre que ça. Lorsqu'il arriva à son village, cela faisait un an qu'il avait été enlevé et les elfes crurent d'abord à un fantôme mais bientôt ils finirent pas accepter le retour de leur Comte, vivant. Un fête fut vite organisé dans le village où notre elfe reprit ses droits et sa gloire fut d'autant plus grandit qu'il ramenait deux trophées.

Mais les deux trophées n'étaient pas de simples cornes d'ivoires vrillées. Lorsqu'il amena ses deux trésors à l'ancien du village pour qu'il les examine, il lui dit ces mots bien mystérieux:


-Ses cornes que tu as arrachées à leur propriétaire ont de biens étranges pouvoirs. Les conséquences de tes actes seront gravées en dedans, l'une rassemblera tes actes bienveillants, l'autres regroupera tes actes malveillants. Et du pouvoir de tes actes ressortira le pouvoir de ces cornes. Forge les en arme et que ta famille ne s'en sépare jamais. Le destin de tes descendants est gravé en ces cornes.

L'elfe fut bien intrigué par ces étranges paroles et obéit à l'ancien du village. Il amena les deux cornes chez le forgeron afin que celui-ci en face deux dagues car la taille des cornes ne permettait pas la création d'autres armes. Le Comte pailla des milliers de stells le forgeron afin que celui-ci fasse de ce travail le plus beau de sa carrière. Il y prit trois mois de son temps et pendant trois mois il travailla l'ivoire pur des cornes, taillant la garde des dagues de manières à ce que l'une représente la malveillance et l'autre la bienveillance. L'une était à l'effigie de Linua et portait en son sein une fleur de flamina tandis que l'autre était aux couleurs de Fibus et était insérée en son manche une feuille d'ébone. Les dagues en elle-même étaient tranchantes et jamais il ne faudrait les aiguiser car l'ivoire de ces cornes ne s'abîmerait jamais. Le forgeron fabriqua les fourreaux de ces dagues avec de la peau de dalicéros faute de meilleure matière mais le Comte se jura qu'un jour, la peau de ses fourreaux serait celle des deux monstres. L'elfe glorieux décida de nommer ses deux dagues Arzalis et Pazalis afin que personne n'oublie le nom des monstres dont l'ivoire avait créé ses dagues aux pouvoirs étranges et inconnus.

Personne ne sait ce que sont devenus ces monstres aujourd'hui mais d'aucuns disent que parfois ils entendent des grognements dans les sombres cavernes disparus des falaises bornant Gähl Drasyl. Personne n'a retrouvé l'entrée de ces cavernes mais voici ce que disent les écrits des vieux livres du temple d'Ertuen:

Nos éclaireurs ont remarqué la soudaine disparition des Caragos, d'étranges monstres en armure sortant des cavernes des falaises bordant la mer à l'ouest de l'île. Nous ne savons ce qui a causé leur perte car ils paraissaient comme les créatures autres que les quatres races les plus intelligentes et les mieux organisés presque à l'égale d'un peuple divin. Est-ce une punition des Dieux pour leur audace ou est-ce une explication non-divine? Aucune réponse n'a pu être apporté à ce mystère car aucun des Dieux a signé ce carnage et aucun indice ne nous révèle la nature de cette soudaine extermination à part l'éparpillement des nombreux corps de ci de là des terres environnantes les falaises ainsi que le bouchage des trous formant l'entrée de leur repère nous laissant deviner que ces cavernes recèlent aujourd'hui de nombreux morts et trésors mais plus aucun être vivant.

Le mystère flotta ainsi pendant quelques mois puis l'incident fut oublié, le livre fut rangé et on ne reparla plus de ces étranges monstres et personne à part le Comte et les villageois ne connaissait l'existance d'Arzalis et Pazalis dont ils n'eurent plus de nouvelles. Le Comte mourut au combat contre une horde de loups affamés et les dagues échouèrent entre les mains de mes grands-parents qui à leur tour moururent et ma mère en hérita. Lorsque je partis du cocon familiale, elle m'offrit ses dagues dont elle n'aurait plus besoin car elle décida de s'installer et de ne plus partir à l'aventure après avoir mis au monde ma soeur.

Me voici donc en possession de ces dagues au mystérieux pouvoirs dont personne dans ma famille n'en a percé le jour et d'après mes ancêtres, seuls les propriétaires des cornes avec lesquelles ces dagues furent créées pourront éclairer leur pouvoir car seuls eux savaient se servir de leur puissante corne...


Dernière édition par le Mar 18 Déc - 2:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: L'équipement de Paine [Par Paine]   L'équipement de Paine [Par Paine] Icon_minitimeVen 14 Déc - 17:28

L'équipement de Paine [Par Paine] Obj_cape_5 La servante soumise: la cape ensorcelée L'équipement de Paine [Par Paine] Obj_cape_5



Lors de sa reddition face à Sylwania, et après sa transformation par le rituel opéré par l'Exécutrice en personne, Paine avait juré une fidélité aveugle à sa nouvelle Maîtresse et ne vivait plus que pour la servir.
Alors que la ville occupée, Gähl Drasyl, par les forces de la puissante drow subissait les assauts incessants des force de l'alliance de Linua, Paine repoussait, à l'aide de ses nouveaux compagnons, ses ennemis qui furent quelques jours plutôt ses alliés et amis. A cette occasion, Sylwania offrit à sa nouvelle esclave une cape de bonne facture protégeant ainsi beaucoup mieux que l'ancienne la frêle mage drow. La cape était verte, permettant ainsi à la drow de se camoufler parmi les arbres. Faite de laine, elle était tissée de façon à ce que les coups soient un maximum amortis.
Paine accepta le présent et prit ceci pour un grand honneur de la part de cette drow dont le coeur n'était fait que de haine. Mais, ce qu'elle ne savait pas de la cape c'est qu'elle recélait une magie puissante, à la hauteur de la puissance de Sylwania.

Ainsi Paine porte fièrement sa cape, l'ayant jour et nuit sur elle, la faisant réparer lorsqu'elle est usée par les combats ou le temps, et améliorant même la facture de celle-ci pour s'assurer une meilleure protection encore. Rien ne la fait soupçonner le cadeau empoisonné de sa Maîtresse car celle-ci, la drow au coeur avide et haineux, a ensorcelé la cape d'un sort inconnu de Paine:
Plus celle-ci porte le vêtement et plus elle a l'envie de le porter, mais le sort ne se limite pas qu'à ceci. Il permet à Sylwania de s'assurer l'éternelle loyauté de la drow victime du sort. Ainsi secrètement, Sylwania nomma la cape "Servante soumise" car voici l'état dans lequel se retrouverai à jamais Paine, l'esclave servante soumise à l'Exécutrice.



Histoire contée par une main inconnu bien longtemps après la mort définitive de Paine.
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MessageSujet: Re: L'équipement de Paine [Par Paine]   L'équipement de Paine [Par Paine] Icon_minitimeMar 18 Déc - 2:12

L'équipement de Paine [Par Paine] Obj_tiar_1 La Couronne des Abysses L'équipement de Paine [Par Paine] Obj_tiar_1



Ce nom, je ne l'ai pas donné à la coiffe que je porte et beaucoup pense qu'elle s'appelle ainsi par vanité de ma part mais cela n'a rien à voir avec mes propres faits. Voici comment j'eus en ma possession la Couronne des Abysses.

C'était un jour comme un autre, la guerre battait son plein à Gähl Drasyl, les affaires commerciales m'avaient appelées à abandonner mon poste quelques jours. En route à bord du dalicéros pour Urpis, un oiseau que je reconnus de suite vint se poser sur mon épaule et me délivrai un message de la part du Roi des Abysses qui me proposait un échange de toute urgence.
A l'époque ma coiffe était une tiare sombre que d'ailleurs, le forgeron des abysses m'avait joyeusement donné après nombre de service que je lui avais rendu durant ma captivité chez les nains. Je l'avais accepté à coeur joie, recherchant justement ce qui se rapprochait d'un diadème, et j'en avais enfin un.
L'échange proposé par mon ami le Roi Tharok était ma tiare sombre contre sa couronne actuelle. Je trouvais sa proposition forte étrange, pourquoi échanger ma tiare sombre de basse facture contre sa couronne procurant une meilleure protection? Et pourtant lorsque je lui répondis par mes mes interrogations, il me répondit avec empressement et insistance qu'il avait grande envie de ma tiare. N'ayant aucune raison de le lui refuser, j'acceptais donc l'échange mais je le sentais désavantagé et je n'avais pas envie de paraître ingrate, d'une parce qu'il était Roi et avoir un Roi dans ses proches connaissances est utile, deux parce qu'il était ami de longue date. Je lui proposai donc en plus de ma tiare une petite somme de stells dans mes moyens de l'époque qu'il accepta sans rechigner, il est nain avant tout. Et ainsi je me retrouvais avec comme coiffe, la Couronne des Abysses, échangée contre une médiocre tiare à Tharok, Roi des Abyssaux, Seigneur du Monde des Abysses.


Ecrit par Paine, entre deux missions.
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MessageSujet: Re: L'équipement de Paine [Par Paine]   L'équipement de Paine [Par Paine] Icon_minitimeMar 18 Déc - 2:16

L'équipement de Paine [Par Paine] Obj_anno_1 La Rose Changeante L'équipement de Paine [Par Paine] Obj_anno_1



Cette rose est un cadeau très cher à mon coeur. Elle me fut offerte par celui dont je fus aimé par le plus tendre et le plus sincère amour l'espace d'une nuit, cette nuit où il m'offrit une rose bleu-verte, de la sérénité et du bonheur qui m'entouraient alors. La rose change selon mon état psychique du moment, elle a beaucoup varié ses derniers temps.

Au départ, à l'époque j'étais encore namida, la nuit de l'offrande, j'en coiffai mes cheveux. Alors que la guerre de Gähl Drasyl se déclarait, je la fit incruster dans mon armure à l'endroit du coeur et elle y prit une couleur bleue glacée, la guerre faisant des ravages sur mon coeur.
La guerre finit. Le la perdit car les armées de Linua je les dirigeais et les avais emmené à leur perte. Je perdis la ville et je sentis se déchainer en moi une étrange folie que je ne pouvais contrôler, c'était la bague rouge, aujourd'hui en sécurité, qui me possédait et je m'élançai seule à l'assaut de la ville. J'y fut accueillie par une porte qui me terrassa sur le coup, la porte de Yahadaneth. Je fus envoyé au monde des morts où j'entendis mon nom des bouches haineuses des mes anciennes troupes.
Prise d'une haine, dont la bague n'était pas innocente, envers ceux à qui j'avais offert mon énergie et qui ne me répondait qu'avec ingratitude, je pris la décision de me rendre à l'ennemi et de m'offrir à leur chef en tant que servante docile. La rose prit alors un bleu fort foncé.
J'arrivai devant Sylwania et quelques semaines plus tard, les éléments assemblés pour le rituel, elle me transforma en drow et me transmit sa haine envers tout, jusqu'à haïr celui qui me fit don de ce précieux trésor qu'est cette rose aux couleurs changeantes. A ce stade, elle prit la teinte la plus noire possible et depuis lors elle ne changea plus de couleur.


Je la fis incruster dans l'anneau magique que je m'achetai quelques temps plutôt, l'anneau se nomme aujourd'hui: Rose changeante.

Ecrit par Paine, date inconnue.
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MessageSujet: Re: L'équipement de Paine [Par Paine]   L'équipement de Paine [Par Paine] Icon_minitime

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