Les sagas abyssales [Par Divinio]

Citation :: ATTENTION AU POUET-POUET

C'est ici que je conterai
Tous les bienfaits, les malfaits
Qui arrivent sans crier gare
Aux nains de mon territoire !

Et si jamais l'aventure, et si jamais la culture,
De mes frères abyssaux
Vous fait nous r'garder de haut

Nos paradis, nos enfers,
Notre cité de Dreder !!!
On vous cassera en deux
Pour mieux vous voir dans les yeux

Implorer notre pitié
Tenter d'être pardonnés
Par mes frères et par mon roi
Avant de mourir, ma foi.

Citation :: MÉMOIRES DE GUERRE

Vous reviens-t-il en la mémoire
Des jours sanglants, des jours de gloire
Des jours entiers ou les batailles
Prenaient la vie et les entrailles

Vous reviens-t-il clair à l'esprit
Des fumées grises, des corps sans vie
Que vous jonchiez sans attention
Pris par l'effort et la passion

Vous reviens-t-il lors de ces guerres
Que vous perdiez amis, pères, frères
En jetant dans le précipice
Ces ennemis qui vous haïssent

Vous reviens-t-il en ces jours calmes
Que vous fûtes d'heureux coeurs en flammes
Jusque dans vos nuits de campement
A dormir dans l'odeur du sang

A rêver de haches, de massues
De coups d'épée, de crânes fendus
Tandis que dans tous les villages
La peur et l'inquiétude font rage

Vous reviens-t-il en la mémoire
Des jours sanglants, des jours de gloire
Des jours entiers ou les batailles
Prenaient la vie et les entrailles

Citation :: DREDERV'HYMNE

Tremblez paladins, tremblez vampires, tremblez elfes et rebelles,
Pleurez des larmes de sang car la mort vous appelle !
Souffrez rebelles, souffrez elfes, souffrez vampires et paladins
Voici le chant qui tue, voilà l'hymne des nains.

Jamais, au grand jamais vous ne pourrez survivre
Aux forces que les dieux dans nos coeurs délivrent.
Jamais vous ne saurez les nabots maîtriser,
Nous sommes plus vaillants que vos fidèles guerriers.

Tremblez paladins, tremblez vampires, tremblez elfes et rebelles,
Pleurez des larmes de sang car la mort vous appelle !
Souffrez rebelles, souffrez elfes, souffrez vampires et paladins
Voici le chant qui tue, voilà l'hymne des nains.

La puissance Abyssale est un violent destin,
Et les massues ou haches qui prolongent nos mains
Ont l'appétit sans fin de vos rêves de gloire
Et transforment vos vies en morbides cauchemars.

Tremblez paladins, tremblez vampires, tremblez elfes et rebelles,
Pleurez des larmes de sang car la mort vous appelle !
Souffrez rebelles, souffrez elfes, souffrez vampires et paladins
Voici le chant qui tue, voilà l'hymne des nains.

Tharok, Roi de ce peuple, à la fois fier et fort,
Brutal, loyal, voire même pochtron jusqu'à la mort,
Du fond de ces entrailles, les dirige habilement
Du soir jusqu'au matin, les mène au firmament.

Tremblez paladins, tremblez vampires, tremblez elfes et rebelles,
Pleurez des larmes de sang car la mort vous appelle !
Souffrez rebelles, souffrez elfes, souffrez vampires et paladins
Voici le chant qui tue, voilà l'hymne des nains.

Que ce monde de monstres, de mages et de barbares
Mette un genou à terre, honorant la victoire
Qui vous verra périr sous les coups héroïques
Que vous asséneront les nains de Dredervick.

Tremblez paladins, tremblez vampires, tremblez elfes et rebelles,
Pleurez des larmes de sang car la mort vous appelle !
Souffrez rebelles, souffrez elfes, souffrez vampires et paladins
Voici le chant qui tue, l'hymne Dredervickien.

Citation :: JUSQU'A LA VIE

Un damné m'a pourri,
Je meurs, je revis.
Un montagnard m'a détruit,
Je meurs, je revis.
Un bewok m'a appris,
Je meurs, je revis.
Un gamlis m'a surpris,
Je meurs, je revis.

Le temps pour moi de m'habituer,
Je meurs, je revis.
En recevant quelques raclées,
Je meurs, je revis.
Je perds mon corps sur les rochers,
Je meurs, je revis.
Mais toujours je reviendrai,
Je meurs, je revis.

Et toujours plus fort je serai,
Je meurs, je revis.
J'en prendrai, mais j'en donnerai,
Je meurs, je revis.
Jusqu'au jour où... fatalité !
Je meurs, je revis.
Ce s'ra à moi de tous les tuer,
Ils meurent, je vis.

Citation :: INVASION NAMIDA

De grandes jambes parcourent ce jour
Les belles failles de nos Abysses
Ils viennent ici juste pour
Redorer leur blason triste

Mais auraient-ils oublié
Que les nains sont courageux
Et ne cèderont jamais
Face à une troupe de boiteux

Comme ces vilains Namidas
Qui frappent de loin puis s'enfuient
En rampant dans nos crevasses
De peur d'être tous détruits

Oyez braves guerriers nains
Rassemblez-vous à Gorha
Que les haches dans vos mains
Suintent du sang d'un Namida

Ne les laisser point passer
Faites-leur subir mille douleurs
C'est tout ce qu'ils doivent gagner
Pour finir chez Le Passeur

Citation :: LA FÊTE A URPIS

Y a plein d'elfes dans Urpis
Elle vient d'là l'odeur de pisse
Il y a aussi des vampires
Et ça sent encore pire

Bon sang nains, sortez vos haches
Vos massues et vos rondaches
Et tapez par dessus bras
Éclatez moi donc tout ça

C'est la fête dans le village
On va faire un vrai carnage
Vous êtes bien deux fois plus grand
Mais surtout deux fois plus glands

Craignez nous un point c'est tout
La vraie couleur c'est le roux
C'est le roux qui va au teint
De nous les cruels frangins

On va tous vous pourrir
Sous terre vous irez croupir
Seuls survivront peut-être ceux
Qui nous prendront pour leur dieu

Citation :: LA FÊTE A URPIS

Y a plein d'elfes dans Urpis
Elle vient d'là l'odeur de pisse
Il y a aussi des vampires
Et ça sent encore pire

Bon sang nains, sortez vos haches
Vos massues et vos rondaches
Et tapez par dessus bras
Éclatez moi donc tout ça

C'est la fête dans le village
On va faire un vrai carnage
Vous êtes bien deux fois plus grand
Mais surtout deux fois plus glands

Craignez nous un point c'est tout
La vraie couleur c'est le roux
C'est le roux qui va au teint
De nous les cruels frangins

On va tous vous pourrir
Sous terre vous irez croupir
Seuls survivront peut-être ceux
Qui nous prendront pour leur dieu

Citation :: L'ÉPITAPHE DES MONTAGNARDS

Avez-vous vu ces gros croupions
Qu'on appelle les nains des montagnes
Ils sont frisés commes des moutons
Et ridicules dans la castagne.

Ils vivent là-haut, au-d'ssus des cimes
Dans un royaume frôlant le ciel
Ils craignent la mort et les abîmes
Mais leur odeur pestilentielle

Fait fuir les bewoks dégueulasses
Tellement ça vous bouffe tout le nez
Que nul ne peut rester en face
Sans risquer de finir crevé

Alors si vous montez chez eux
Veuillez protéger vos narines
Et fendez leur la tête en deux
Avant de perdre vos urines

Hardis guerriers, cognez, cognez
Défoulez-vous jusqu'à plus soif
Descendez-les jusqu'au dernier
Ca leur servira d'épitaphe

Diccultia du 9éme de Decanoct de l'An III