(1er poème)
Je ne peut méditer
Sans avoir une pensée
Pour cet ange étoilé
Qui est venu percer
De sa flèche rouge vif
Un coeur aussi pensif
(2ème poème)
La tristesse du corps
Comme l'âme qui s'endort
Vous montre que le monde
D'ou j'aillit la vie
N'est qu'une boule ronde
D'ou ne sort que l'ennuis
Secret
Le long de la rivière
Voguait un beau bateau
Et c'est de cette Terre,
Que je me mis à l'eau
Pour aller observer
Ce fabuleux trésor
Qui y était caché
Comme le plus bel or
Une petite strophe pour dire "je t'aime"
Mon coeur ce serait endormi,
Si, avec toute ta chaleur
Tu ne l'avait remplit de bonheur,
et ainsi redonné vie
Aimer
C'est dans ce petit jour
Que j'ai pu reconnaitre
Encore un jeune amour
Qui allait bientot naitre.
Et c'est la que je vis
Ce magnifique corps
Qui toujours m'attendrit
Quand je le vois qui dort.
Et je voulais lui dire,
Que le temps fut trop court,
Mais ce dernier soupir
Gardera mon amour.