Création poètique de Silveran [Par Silveran Elanessë]

Noire

encore une nuit sans amour
isolé avec des pensées cruelles
seul avec un regard remplit de haine
accusations qui restent sourds

mensonges dissimulés d'immenses mûrs
qui éttoufent des hurlements sanglants
destructions causées par les armes des larmes
annéantissement par le sadisme du plus offrant

sombre sombre colère engance des innégalités
rude répression derrière une révolution
une révolution tâché par l'hostilité
baillon et mort pour le peuple soulevé

blessures et chaînes aux cadavres prèts pour l'Enfer
obscurité cachée dans les recoins du mal
innaction blazé auz coups du totalitaire
obligation d'à jamais se taire

entendement perdu et imcomprit
pas prèt à se bâttre pour lui-même
mais insuffisant pour se tuer, se suicider
vaincu à la noirceur de son âme

il y fait si sombre, si noire
si noire, si noire.

Blanche

un autre jour remplit d'amour
accompagné d'inspirations si bénéfiques
seul avec un regard remplit de belles promesses
félicitations englobées d'humour

vérités démontrées d'immenses espaces ouverts
qui fasçonnent des hymnes de merveilles
créations appelées par les outils des éclats de rires
rassemblement par le charisme du plus brillant

claire claire joie engance de la solidarité
douce méloppée devant une révolution
une révolution décorée par l'alliance
expression vivante pour le peuple soulevé

guérisons et fleurs aux corps qui accueil le Paradi
lumière visible dans le centre du bien
actions efficasses aux rytmes du visionnaire
libre de toujours parler

Entendement retrouvé et comprit
parfaitement prèt à la paix avec lui-même
siffisant pour vivre, s'éppanoire
victorieux à la claireté de son âme

il y fait si claire, si blanche
si blanche, si blanche.

Viendrais-tu de Faierie?


Plaisante étais ma marche sur ce sentier herbeux;

Sous les feuilles des arbres qui formaient un toît noueux;

Les oiseaux chantaient et le soleil brillait, tout heureux;

Mes pencées vagabondaient devant ces arbres merveilleux.


Mais bon sang, je n'aurais pu imaginer de t'appercevoir.

Toi qui n,étai pas très grand, mais qui possédait un grand savoir;

Toi qui était assis sur une branche et qui regardait les oiseaux sans me voir;

Viendrais-tu de Faierie, toi qui semblais avoir tout les pouvoirs?


T'est belles boucles blondes, tu placais devant ton petit miroir;

Dans t'est cheveux, tu avais un bandeaux orné d'une plûme noire;

T'est vêtemnts étaient fait de tissus légés et de feuilles comme je pouvais le voir;

Viendrais-tu de Faierie, toi qui portait des vêtements si bizarres?


Ta peaux était claire pouvant même être doré;

T'est yeux jaunes semblaient aimer regarder les oiseaux chanter;

Tu avais des mains fines qui étaient petites mais belles à regarder;

Viendrais-tu de Faierais, adorable créature aux corps de félidé.


Puis tu as mis ton mirroir dans ta ceinture de cette journée;

Tu es descendu de ta branche sans qu'aucun son ne soit provoqué;

Alor tu m'as apperçus et tu m'as sourie, comme j'essayais de me sauver;

Mais devant l,aire surnaturel du moment, je me suis calmé;

Et je t'ais sourie aussi, car maintenent, j'étais sur que tu venais de Faierie.



Ne voyez-vous pas ces routes?


Ah, ne voyez-vous pas cette route étroite,

qui traverse ce champ en une belle ligne droite,

envahit d'épais buissons et d'épinière,

et aplatie par les vents incessants t'elle un infinni calvère,

c'est le sentier de la Vertu,

toujours brillant toujours éppercu,

bien que peu de gens le recherchent,

pourtant si évident comme une traverse,

et ne voyez-vous pas cette large large route,

entourée de grandes forêts majestieuses en toutes,

qui s'étend au travers de la clairière au lis,

qui jamais mais jamais ne pourra être lisse,

c'est le chemin de l'Iniquité,

devant sa grande beauté on ne peut le nier,

bien que certains l'appellent la Route du Ciel,

qui joue avec nous et nous ammènes à marcher sur elle,

et ne voyez-vous pas cette jolie route joyeuse,

qui serpente sur cette colline parmie les fougères aux tiges noueuses,

c'est la route du beau pays de la sagesse,

où toi et moi cette nuit nous marcherons sur le sable pleint de tendresse!

Salut

Salut qui que tu soi
Dont j'imagines la douce mélopée
en cette soirée ou il y a moi
sur cette Terre au firmament étoilé

Sais-tu qui je suis?
Moi qui prétend me connaître?
Imagines-tu ce qui me poursuit?
Toi, qui un jour rêvais d'Être?

Une forêt, une Nature obscure
Entends-tu ce vent qui mûrmures?
Et qui souffle des réponses dans tes pensées?
C'est t'as conscience illuminée, celle que tu croyais cachée

En toi il y a la force de l'illimité
infinni sont les largesse de ton esprit
fait en un endroit de sérénité
un chez toi d'ou tout t'es permit

N'est peur de rien
tu sais, au fond, la vie est une *beep*
elle n'a pas étée faites pour être juste
mais sache qu'elle complote pour toi
pour réaliser tout tes rêves

Pas d'obstacles, pas de limites
pas de frontières, pas de blessures
pas de désaccord
pourquoi s'inventer des restrictions?

Nous sommes toujours la
les 4 ne nous ont pas vaincus
La Famine étouffe et fait gonfler les corps
mais la Terre finit toujours par nourrire ses enfants
La Pestilence dissémine et contamine la Vie
mais à maladie il y a toujours un remède
La Guerre tranche et broie les plus purs des enfants
mais même les plus belles colombes peuvent survoler d'anciens champs de batailles
La Mort vole et fauche les plus cher de nos proches
mais elle reste naturelle et fait partie de la continuité de la vie

À 4 Fléaux 4 résolutions
Ne pas les suivres, c'est être fataliste
pourquoi choisir d'être malheureux?
Il y a tant à voir sur Terre

regarde le levé du Soleil
et imagine le père réveillant ses petits
regarde la Lune se coucher
et dit toi que dans le coeur des amoureux sincères
Toujours les feux de l'Amour brûleront

et toi que vas-tu faire?
ou est t'as place dans la vie?
et si tu l'as découvre, décideras-tu de la prendre?
Il est si facile de s'abandonner à un autre

Il faut souhaiter ne pas perdre espoir
c'est la Vie qui fait son chemin
et si un jour, tu te trouves dans l'Univers de tes pensées
ne frustre pas devant l'âme aveugle des autres
et aide-les en leur allûmant t'as petite chandelle.